Dans le panthéon Indou, chaque chakra est « composé » de déesses et de Dieux.
Le dieu qui « repose » dans le bijâ de ce chakra est Vishnu (ou Hari), dont le corps est bleu et qui possède quatre bras, il est assis sur son « véhicule », l’aigle Garuda.
La mère du chakra est la shakti Râkinî de couleur bleue comme le lotus de même teinte, d’aspect furieux, dont les trois yeux sont rouges et dont une narine saigne abondamment.
Cela peut vous paraître « abstrait » comme image voir peut compréhensif ce qui est tout à fait normal, et bien sûr je ne vais pas vous faire la leçon, pour cela j’ai complété la compréhension de ce chakra, sur lequel un livre pourrait être écrit et choisi un exemple personnel car je l’ai moi-même vécu, qui est naît dans ce centre d’énergie.
Je site :
- Être passionné n’est pas être obsédé comme la connaissance de Soi n’est pas une curiosité. La connaissance de soi est un désir profond qui surgit et se conjugue suite à des évènements qui font que rien ne peut empêcher celui-ci à ce réaliser.
Et vous l’avez compris, j’en suis certaine, c’est Swadisthana chakra
Combien de fois, j’ai pensé le jour la nuit – mais qu'est qu’il m’arrive ? combien de fois j’ai pensé le jour la nuit - il faut que cela s’arrête ! et quand ce n'était pas moi c’était là, même.
Pour le nombre j’en ai aucune idée, je n'ai pas compté mais ce fut surement un nombre « sacré » car je n’oublierais jamais cette période de ma vie qui j’avoue ne semble pour cette sublime énergie pas fini.
Puis, la lumière, dans un état de conscience « quatrième » comme dit le Yoga, j’ai reçu la lumière mais c’est une autre histoire pour un autre jour, revenons à notre chakra Swadisthana.
- Elle est belle, magnifique, sans défaut aucun, c’est la plus jolie.
Cette beauté nous rappel que tout à son contraire, alors une question Se pose - Qui est cette beauté ?
Vénus ? et oui c’est Vénus en Swadisthana et c’est cette beauté qui perce le miroir magique et se reflète et met "la chercheuse ou le chercheur (pas de jalousie ici)" comme j’adore de toute façon les invoquer dans la quette perpétuelle à la compréhension de ce qu’est la beauté sans oublier le mot qui dit tout « éternelle ».
Vénus, symbole de mort, d’amour et de renaissance, gouverne les domaines des sentiments, de l’affectivité, des instincts et de l’inspiration.
Ouverture au monde des arts et des créations artistiques, elle représente également les attachements affectifs et familiaux.
Planète tellurique dont l’orbite est comprise entre celle de Mercure et celle de la Terre, elle est plus proche que nous du Soleil, elle ne sera jamais plus éloignée de 48° du Soleil dans une carte du Ciel.
Vénus étant la Déesse de la beauté et Mars, son amant, le Dieu de la guerre, il y a deux planètes féminines en astrologie : la lune (la mère, l’épouse, le foyer, les enfants) et vénus (l’amoureuses, l’amante, l’art de la beauté, le charme).
Le septénaire Vénusien est en relation avec l’amour, l’amour des siens, la famille, le foyer, les enfants et les capacités esthétiques et artistiques.
Le voyant Belline, lui aussi avait bien percé les secrets de Vénus et je vous invite à voir ci-dessous la famille Vénusienne, régie par Vénus dans l’Oracle Belline.
Vénus influence donc sept lames :
Le plaisir, la paix, l’union, la famille, l’amour, la table, les passions.
J’ai choisi l’amour, car celui-ci donne des ailes et voyons ensemble ce que dit l’interprétation de cette lame :
Cette carte va traduire le monde des associations et des unions qui auront pour origine un lien filial, filial étant entendu au sens propre comme au sens large, c’est-à-dire, de la même famille politique, sociale ou professionnelle, par exemple.
Les répercussions et les conséquences de ces unions seront d’une importance considérable et les alliances seront indéfectibles.
Ces unions seront donc à protéger car leur séparation aurait des répercussions terribles.
Lame positive :
Sentiments reconnus, nobles, pouvant déboucher sur une union, foyer, couple, association, alliance, contrat, recentrage, affection
En négatif :
Fusion, tension, séparation, empressement, liens entravants, dispersion
A bientôt
Christine